© Getty Images/iStockphoto

Les particules extrafines de médicament diminuent le besoin en corticostéroïdes

<p class="article-intro"><em>Article sponsorisé</em><br/> <br/>Les voies aériennes distales jouent un rôle important dans l’apparition de maladies pulmonaires obstructives. En effet, comme les conférenciers d’un symposium organisé dans le cadre du congrès annuel de la Société Suisse de Pneumologie (SSP) à Montreux l’ont illustré, de nombreux patients asthmatiques ou souffrants de BPCO présentent également une atteinte ou un dysfonctionnement des voies aériennes distales. Pour accéder à ces régions, les particules de substance active doivent avoir une taille inférieure à 2 μm. L’association fixe de particules extrafines de béclométasone et de formotérol (Foster®) remplit cette condition. Elle augmente ainsi l’efficacité du traitement tout en diminuant le besoin en stéroïdes.</p> <hr /> <p class="article-content"><p>Les voies a&eacute;riennes distales (&laquo;small airways&raquo;) relient les voies a&eacute;riennes proximales aux alv&eacute;oles. La recherche montre de plus en plus clairement que les inflammations dans ces r&eacute;gions pulmonaires jouent un r&ocirc;le fondamental dans l&rsquo;apparition de l&rsquo;asthme et de la BPCO. Comme l&rsquo;a expliqu&eacute; la Professeure Daiana Stolz, de l&rsquo;Universit&eacute; de B&acirc;le, lors d&rsquo;un Symposium de l&rsquo;entreprise OM Pharma organis&eacute; &agrave; Montreux dans le cadre de la r&eacute;union annuelle de la Soci&eacute;t&eacute; Suisse de Pneumologie (SSP), il existe une corr&eacute;lation entre l&rsquo;atteinte des voies a&eacute;riennes distales, la s&eacute;v&eacute;rit&eacute; de l&rsquo;asthme et la fr&eacute;quence des exacerbations (1, 2). Des inflammations non trait&eacute;es dans ces r&eacute;gions peuvent donc compliquer de mani&egrave;re significative la gestion de la maladie. Les inflammations des voies a&eacute;riennes distales ont &eacute;galement des r&eacute;percussions rapides sur la BPCO, comme l&rsquo;ont montr&eacute; les r&eacute;sultats d&rsquo;une &eacute;tude internationale, puisqu&rsquo;elles occasionnent d&eacute;j&agrave; une perte de fonction de pr&egrave;s de la moiti&eacute; des bronchioles terminales &agrave; un stade l&eacute;ger (GOLD 1) (3). La pneumologue a d&eacute;clar&eacute; que m&ecirc;me si la BPCO ne semble pas &ecirc;tre &agrave; un stade avanc&eacute;, une partie importante des voies a&eacute;riennes distales est d&eacute;j&agrave; touch&eacute;e (1).</p> <p><strong>La taille compte</strong><br /> D&rsquo;apr&egrave;s les donn&eacute;es d&rsquo;une revue syst&eacute;matique de la litt&eacute;rature, 50-60 % des patients asthmatiques pr&eacute;sentent une atteinte des voies a&eacute;riennes distales (4). Mais selon le Professeur Dave Singh, de l&rsquo;Universit&eacute; de Manchester, ces informations sont rarement prises en compte dans la pratique clinique. Et les techniques d&rsquo;inhalation usuelles parviennent difficilement &agrave; acheminer les substances actives dans ces r&eacute;gions, dont le diam&egrave;tre interne est inf&eacute;rieur &agrave; 2 mm. Le pneumologue britannique a &eacute;voqu&eacute; deux &laquo;chiffres clefs&raquo;, 2 &mu;m et 5 &mu;m: les particules de 5 &mu;m atteignent les voies a&eacute;riennes proximales, et les particules de 2 &mu;m les voies a&eacute;riennes distales. &laquo;Malheureusement, les particules des principes actifs mesurent en moyenne 3 &mu;m &agrave; 3,5 &mu;m. Cons&eacute;quence, seule une faible quantit&eacute; atteint les voies a&eacute;riennes distales de nos patients.&raquo; Il est vrai que les substances couramment utilis&eacute;es dans le traitement de l&rsquo;asthme sont de tailles tr&egrave;s vari&eacute;es. Selon le professeur Singh, seuls 20 % des corticost&eacute;ro&iuml;des parviennent dans la r&eacute;gion concern&eacute;e, le reste &eacute;tant absorb&eacute; ou aval&eacute;. En revanche, une quantit&eacute; bien plus cons&eacute;quente atteint sa cible avec l&rsquo;association fixe &agrave; particules extrafines de b&eacute;clom&eacute;tasone, un glucocortico&iuml;de, et de formot&eacute;rol, un b&ecirc;ta-2-mim&eacute;tique (BDP/F) (Foster&reg;), qui sont inf&eacute;rieures &agrave; 2 &mu;m (5). Ainsi, l&rsquo;a&eacute;rosol est en mesure d&rsquo;acc&eacute;der aux structures les plus &eacute;troites des poumons. En outre, sa technologie de formulation (Modulite&reg;) requiert une dose nettement plus faible de st&eacute;ro&iuml;des que les traitements usuels (6). Selon le Professeur Singh, ce syst&egrave;me se distingue &eacute;galement par la vitesse relativement faible &agrave; laquelle les particules sont expuls&eacute;es de l&rsquo;inhalateur, ce qui permet aux patients de mieux coordonner leur respiration. Alors que les autres syst&egrave;mes ne laissent que 0,06 seconde au patient, et que nombre de leurs particules ne se rendent pas au-del&agrave; de la bouche ou de la paroi du pharynx, le nuage a&eacute;rosol que forme la combinaison BDP/F atteint le pharynx en 0,18 seconde (7). Par ailleurs, les r&eacute;sultats d&rsquo;une &eacute;tude belge men&eacute;e en ouvert ont montr&eacute; que 66 % de ces particules extrafines p&eacute;n&egrave;trent dans les voies a&eacute;riennes proximales, et 34 % dans les voies a&eacute;riennes distales (8). &laquo;C&rsquo;est bien mieux que de nombreuses autres associations, et cela garantit un traitement homog&egrave;ne de l&rsquo;inflammation dans les diff&eacute;rentes r&eacute;gions pulmonaires&raquo;, a d&eacute;clar&eacute; le professeur Singh.</p> <p><strong>Les avantages de l&rsquo;association BDP/F</strong><br /> Une autre &eacute;tude men&eacute;e aupr&egrave;s de 24 patients asthmatiques visait &agrave; &eacute;valuer les r&eacute;percussions cliniques d&rsquo;une administration de particules extrafines sur une p&eacute;riode de 6 mois (9). D&rsquo;apr&egrave;s les r&eacute;sultats d&rsquo;une imagerie fonctionnelle (TDM-HR*/DNF**), l&rsquo;association de b&eacute;clom&eacute;tasone et de formot&eacute;rol a r&eacute;duit de mani&egrave;re significative l&rsquo;obstruction des voies a&eacute;riennes distales. Les modifications observ&eacute;es &eacute;taient corr&eacute;l&eacute;es avec des am&eacute;liorations significatives d&rsquo;un point de vue clinique. Lorsqu&rsquo;elle a &eacute;t&eacute; directement compar&eacute;e &agrave; une association de propionate de fluticasone et de salm&eacute;t&eacute;rol (FP/SALM), l&rsquo;association BDP/F s&rsquo;est &eacute;galement r&eacute;v&eacute;l&eacute;e sup&eacute;rieure en ce qui concerne l&rsquo;am&eacute;lioration de la capacit&eacute; vitale forc&eacute;e (CVF) apr&egrave;s une p&eacute;riode de traitement de 12 semaines (10, 11). Le test &agrave; la m&eacute;thacholine VEMS PD20 a &eacute;galement montr&eacute; des am&eacute;liorations significatives sur 12 semaines chez 30 patients asthmatiques, dont la dose de m&eacute;thacholine a pu &ecirc;tre augment&eacute;e de 90,42 &mu;g &agrave; 432,41 &mu;g sous BDP/F, contrairement aux patients sous FP/SALM (p = 0,01) (12). Des &eacute;tudes d&rsquo;observation de grande envergure men&eacute;es dans des conditions de vie r&eacute;elle ont &eacute;galement prouv&eacute; l&rsquo;efficacit&eacute; de cette association. Ainsi, une &eacute;tude italienne men&eacute;e aupr&egrave;s d&rsquo;environ 3000 patients asthmatiques de 56 centres de pneumologie a montr&eacute; que l&rsquo;association de particules extrafines BDP/F permet d&rsquo;am&eacute;liorer de mani&egrave;re significative le contr&ocirc;le de l'asthme et la qualit&eacute; de vie des patients par rapport &agrave; une association de bud&eacute;sonide et de formot&eacute;rol (p &lt; 0,05) (13). Lors d&rsquo;une comparaison entre une association de particules extrafines BDP/F (a&eacute;rosol doseur) et une association FP/SALM (inhalateur de poudre s&egrave;che), les participants du groupe BDP/F ont obtenu des r&eacute;sultats nettement sup&eacute;rieurs, notamment en ce qui concerne le contr&ocirc;le complet de leur asthme et la gestion quotidienne des sympt&ocirc;mes par rapport au groupe de r&eacute;f&eacute;rence. De plus, leur dose moyenne de corticost&eacute;ro&iuml;des &eacute;tait nettement plus faible (14). Enfin, une &eacute;tude randomis&eacute;e en double aveugle de grande envergure a &eacute;valu&eacute; les effets &agrave; long terme de l&rsquo;association de particules extrafines (15). Les 1700 participants ont re&ccedil;u une association de b&eacute;clom&eacute;tasone et de formot&eacute;rol (Foster&reg; 100/6 &mu;g 2 x par jour) ainsi que du salbutamol au besoin, ou Foster&reg; MART (Foster&reg; 100/6 &mu;g 2 x par jour plus Foster&reg; 100/6 &mu;g au besoin). Apr&egrave;s 48 semaines, le risque d&rsquo;exacerbation s&eacute;v&egrave;re sous Foster&reg; + salbutamol &eacute;tait 36 % plus &eacute;lev&eacute; que sous Foster&reg; MART (p = 0,0003)</p> <p><strong>BPCO: une dose plus faible de st&eacute;ro&iuml;des est envisageable</strong><br /> &laquo;Nous savons depuis 50 ans que les r&eacute;sistances des voies a&eacute;riennes des patients atteints de BPCO sont caus&eacute;es par un dysfonctionnement dans les voies a&eacute;riennes distales&raquo;, a expliqu&eacute; le professeur Singh (16). On sait aujourd&rsquo;hui que les stades pr&eacute;coces de la BPCO s&rsquo;accompagnent d&eacute;j&agrave; d&rsquo;une inflammation, d&rsquo;un r&eacute;tr&eacute;cissement et d&rsquo;une destruction des voies a&eacute;riennes distales, qui provoquent ensuite des modifications irr&eacute;versibles des alv&eacute;oles et qui, surtout aux stades GOLD C et GOLD D, m&egrave;nent &agrave; un emphys&egrave;me. Ces donn&eacute;es ont &eacute;t&eacute; confirm&eacute;es par tomodensitom&eacute;trie et micro-tomodensitom&eacute;trie (3, 17). Comment intervenir de mani&egrave;re strat&eacute;gique? Si les st&eacute;ro&iuml;des jouent un r&ocirc;le important dans le traitement, leurs effets ind&eacute;sirables potentiels sont connus. Selon le professeur Singh, la dose de st&eacute;ro&iuml;des contenue dans l&rsquo;association de particules extrafines BDP/F est plus faible que des autres associations fixes CSI/LABA. Elle pourrait donc diminuer les effets ind&eacute;sirables sur le long terme. On ne peut toutefois pas se passer enti&egrave;rement des st&eacute;ro&iuml;des, car leur capacit&eacute; &agrave; diminuer les exacerbations est &eacute;prouv&eacute;e. Ainsi, dans le cadre de l&rsquo;&eacute;tude randomis&eacute;e &agrave; double aveugle FORWARD (Foster 48-Week Trial to Reduce Exacerbations in COPD), dirig&eacute;e par le professeur Singh et men&eacute;e sur 48 semaines, 1186 patients atteints de BPCO s&eacute;v&egrave;re et ayant des ant&eacute;c&eacute;dents d&rsquo;exacerbations ont re&ccedil;u une association de particules extrafines de b&eacute;clom&eacute;tasone et de formot&eacute;rol, ou des particules extrafines de formot&eacute;rol (18, 19). &laquo;Par rapport au formot&eacute;rol administr&eacute; seul, un taux d&rsquo;exacerbation 28 % plus faible ainsi qu&rsquo;un volume expiratoire maximal par seconde (VEMS) plus &eacute;lev&eacute; ont &eacute;t&eacute; observ&eacute;s dans le groupe qui recevait l&rsquo;association de BDP/F&raquo;, a rapport&eacute; le professeur Singh. Par ailleurs, la qualit&eacute; de vie des participants du groupe BDP/F a nettement augment&eacute;. Lors d&rsquo;une comparaison directe entre l&rsquo;association de b&eacute;clom&eacute;tasone et de formot&eacute;rol et une association de propionate de fluticasone et de salm&eacute;t&eacute;rol (FP/SALM), des am&eacute;liorations du VEMS ont &eacute;t&eacute; constat&eacute;es chez les patients qui recevaient l&rsquo;association BDP/F, surtout le matin, m&ecirc;me si ces derniers recevaient nettement moins de corticost&eacute;ro&iuml;des (400 &mu;g par jour) que ceux qui recevaient l&rsquo;association FP/SALM (1000 &mu;g par jour) (20). &laquo;Une dose plus faible de cortisone diminue &eacute;galement le risque d&rsquo;effets n&eacute;gatifs pour le patient, a d&eacute;clar&eacute; le professeur Singh. Les effets ind&eacute;sirables des st&eacute;ro&iuml;des d&eacute;pendent ind&eacute;niablement de la dose utilis&eacute;e, et nous n&rsquo;avons aucune raison d&rsquo;administrer inutilement des doses &eacute;lev&eacute;es &agrave; nos patients.&raquo; De plus, une nouvelle &eacute;tude comparative britannique men&eacute;e dans des conditions r&eacute;elles portant sur des particules fines et extrafines de st&eacute;ro&iuml;des indique que le risque de pneumonie est moindre lors de l&rsquo;emploi de particules extrafines (21). Le professeur Singh est en train de faire passer ses patients de Manchester atteints de BPCO d&rsquo;une association FP/SALM &agrave; d&rsquo;autres associations CSI/LABA, y compris Foster&reg;.</p> <p><strong>Les &eacute;osinophiles comme pr&eacute;dicteurs de r&eacute;ussite th&eacute;rapeutique</strong><br /> Ces derniers temps, les pneumologues se sont &eacute;galement pench&eacute;s sur l&rsquo;activit&eacute; des &eacute;osinophiles dans le sang. En effet, ceux-ci sont clairement associ&eacute;s &agrave; une augmentation des exacerbations de BPCO (22). L&rsquo;&eacute;tude FORWARD susmentionn&eacute;e a illustr&eacute; la sup&eacute;riorit&eacute; des particules extrafines de dipropionate de b&eacute;clom&eacute;tasone et de fumarate de formot&eacute;rol (BDP/FF) par rapport &agrave; du fumarate de formot&eacute;rol sans st&eacute;ro&iuml;des, et ce d&rsquo;autant plus lorsque l&rsquo;&eacute;osinophilie &eacute;tait s&eacute;v&egrave;re au d&eacute;but du traitement (22). Ainsi, le risque d&rsquo;exacerbation de BPCO a diminu&eacute; de moiti&eacute; chez les patients dont les valeurs &eacute;taient de 300 &eacute;osinophiles/&mu;l de sang. Selon le professeur Singh, la s&eacute;v&eacute;rit&eacute; de l&rsquo;&eacute;osinophilie pourrait &ecirc;tre un pr&eacute;dicteur de l&rsquo;effet th&eacute;rapeutique. Ces r&eacute;sultats figurent notamment dans le rapport GOLD 2019 (23), dans lequel des corticost&eacute;ro&iuml;des inhal&eacute;s (CSI) sont recommand&eacute;s aux patients atteints de BPCO &agrave; risque &eacute;lev&eacute; d&rsquo;exacerbation. Si l&rsquo;&eacute;osinophilie se situe &agrave; 300 &eacute;osinophiles/&mu;l de sang, une administration de CSI a de fortes chances d&rsquo;&ecirc;tre efficace, ce qui n&rsquo;est pas le cas lorsque les valeurs sont inf&eacute;rieures &agrave; 100 &eacute;osinophiles par &mu;l de sang.</p> <p>* high-resolution computed tomography<br /> ** computational fluid dynamics</p> <p><span style="text-decoration: underline;">Source:</span><br />Symposium satellite d&rsquo;OM Pharma Suisse/Vifor SA: &laquo;Relevance of the Small Airway Disease&raquo;, qui a eu lieu le 10 mai 2019 &agrave; Montreux, dans le cadre du congr&egrave;s annuel de la Soci&eacute;t&eacute; Suisse de Pneumologie (SSP).</p> <p><img src="/custom/img/files/files_datafiles_data_Zeitungen_2019_Leading Opinions Digital_Pneumo_1909_Weblinks_foster_bez._artikel1909_foto.jpg" alt="" width="371" height="203" /></p> <p><strong>Literatur:</strong></p> <p><strong>1.</strong> Postma DS et al: Exploring the relevance and extent of small airways dysfunction in asthma (ATLANTIS): baseline data from a prospective cohort study. Lancet Respir Med 2019; 7 (5): 402-16.<br /> <strong>2.</strong> Lipworth B et al; Unlocking the quiet zone: the small airway asthma phenotype. Lancet Respir Med. 2014 ;2(6):497-506.<br /> <strong>3.</strong> Koo HK et al: Small airways disease in mild and moderate chronic obstructive pulmonary disease: a cross-sectional study. Lancet Respir Med. 2018; 6(8): 591-602.<br /> <strong>4.</strong> Usmani OS et al: The prevalence of small airways disease in adult asthma: A systematic literature review. Respir Med 2016; 116: 19-27<br /> <strong>5.</strong> Scichilone N et al: Lung penetration and patient adherence considerations in the management of asthma: role of extra-fine formulations. J Asthma Allergy. 2013; 6: 11&ndash;21.<br /> <strong>6.</strong> Acerbi D et al: Advances in asthma and COPD management: delivering CFC-free inhaled therapy using Modulite technology. Pulm Pharmacol Ther. 2007; 20(3): 290-303.<br /> <strong>7.</strong> Ganderton D et al: Modulite: a means of designing the aerosols generated by pressurized metered dose inhalers. Respir Med. 2002; 96 Suppl D:S3-8.<br /> <strong>8.</strong> De Backer W et al: Lung deposition of BDP/formoterol HFA pMDI in healthy volunteers, asthmatic, and COPD patients. J Aerosol Med Pulm Drug Deliv. 2010; 23(3):137-48.<br /><strong>9.</strong> Vos W et al: Novel Functional Imaging of Changes in Small Airways of Patients Treated with Extrafine Beclometasone/Formoterol. Respiration 2013; 86: 393-401.<br /> <strong>10.</strong> Paggiaro P et al: Extrafine Beclometasone dipropionate/formoterol hydrofluoroalkane-propelled inhaler in asthma. Expert Rev Respir Med. 2008; 2(2): 161-6.<br /> <strong>11.</strong> Papi A et al: Beclometasone/formoterol vs fluticasone/salmeterol inhaled combination in moderate to severe asthma. Allergy. 2007; 62(10): 1182-8.<br /> <strong>12.</strong> Scichilone N et al: Effects of extra-fine inhaled Beclometasone/formoterol on both large and small airways in asthma. Allergy. 2010 Jul;65(7):897-902.<br /> <strong>13.</strong> Allegra L et al: Real-life prospective study on asthma control in Italy: Cross-sectional phase results. Respir Med 2012; 106(2): 205-14.<br /> <strong>14.</strong> M&uuml;ller V et al: Asthma control in patients receiving inhaled corticosteroid and long-acting beta2-agonist fixed combinations. A real-life study comparing dry powder inhalers and a pressurized metered dose inhaler extrafine formulation. BMC Pulmonary Medicine 2011; 11:40.<br /> <strong>15.</strong> Papi A et al: Beclometasone-formoterol as maintenance and reliever treatment in patients with asthma: A double-blind, randomised controlled trial. Lancet Resp Med. 2013; 1(1):23-31<br /> <strong>16.</strong> Hogg JC et al: Site and Nature of Airway Obstruction in Chronic Obstructive Lung Disease. N Engl J Med. 1968; 278(25): 1355-60.<br /> <strong>17.</strong> McDonough JE et al: Small-Airway Obstruction and Emphysema in Chronic Obstructive Pulmonary Disease. N Engl J Med 2011; 365: 1567-75.<br /> <strong>18.</strong> Singh D et al: A trial of Beclometasone/formoterol in COPD using EXACT-PRO to measure exacerbations. Eur Respir J 2013; 41(1): 12&ndash;7.<br /> <strong>19.</strong> Wedzicha JA et al: Extrafine Beclometasone/formoterol in severe COPD patients with history of exacerbations. Respir Med. 2014; 108(8): 1153&ndash;62.<br /> <strong>20.</strong> Singh D et al: Extrafine Beclometasone/formoterol compared to Fluticasone/salmeterol Combination Therapy in COPD. BMC Pulm Med. 2014; 14: 43.<br /> <strong>21.</strong> Sonnappa S et al: Risk of pneumonia in obstructive lung disease: A real-life study comparing extra-fine and fine-particle inhaled corticosteroids. 2017; PLoS ONE 12(6): e0178112.<br /> <strong>22.</strong> Siddiqui SH et al: Blood Eosinophils: A Biomarker of Response to Extrafine Beclometasone/Formoterol in Chronic Obstructive Pulmonary Disease. AJRCCM. 2015; 192(4).<br /> <strong>23.</strong> Global Initiative for Chronic Obstructive Lung Disease: Global Strategy for the Diagnosis, Management and Prevention of Chronic Obstructive Pulmonary Lung Disease, 2019 Report: 91-3.</p> <p><br /><strong>KFI:</strong></p> <p><strong>Foster<sup>&reg;</sup> 100/6</strong>,solution pour inhalation en flacon pressuris&eacute;<strong>.</strong> <strong>C&nbsp;:</strong> Par inhalation: dipropionate de b&eacute;clom&eacute;tasone (100 microgrammes), fumarate de formot&eacute;rol dihydrat&eacute; (6 microgrammes). <strong>I&nbsp;:</strong>Traitement de l&rsquo;asthme des patients &agrave; partir de 18 ans chez qui un traitement par un produit combinant un corticost&eacute;ro&iuml;de inhal&eacute; et un b&ecirc;ta-2-agoniste d&rsquo;action prolong&eacute;e est indiqu&eacute;. Traitement symptomatique des patients avec une BPCO s&eacute;v&egrave;re avec des exacerbations r&eacute;currentes qui ont des sympt&ocirc;mes malgr&eacute; un traitement avec des bronchodilatateurs &agrave; action prolong&eacute;e. <strong>Po&nbsp;:</strong>Asthme: traitement d&rsquo;entretien: 2 fois par jour 1 ou 2 inhalation(s). Dose journali&egrave;re maximale: 4 inhalations. Traitement &agrave; la demande&nbsp;: en cas de sympt&ocirc;mes, de 1 &agrave; au maximum 6 inhalations suppl&eacute;mentaires par jour. BPCO&nbsp;: 2 fois 2 inhalations par jour. <strong>CI&nbsp;:</strong> Hypersensibilit&eacute; &agrave; l&rsquo;un des ingr&eacute;dients. <strong>Pr&eacute;c&nbsp;:</strong> Surveillance des patients avec des maladies cardiaques, thyrotoxicose, diab&egrave;te, ph&eacute;ochromocytome, hypokali&eacute;mie. Ne pas prendre comme th&eacute;rapie initiale de l&rsquo;asthme. Se gargariser ou rincer la bouche apr&egrave;s l&rsquo;application du produit. <strong>G/A&nbsp;:</strong> Ne pas administrer pendant la grossesse ou l&rsquo;allaitement.<strong> EI&nbsp;:</strong> Fr&eacute;quemment&nbsp;: pharyngite, candidose buccale, irritation de la gorge, pneumonie (lors de BPCO), maux de t&ecirc;te, dysphonie. <strong>IA&nbsp;:</strong> Eviter l&rsquo;utilisation de b&ecirc;tabloquants, pr&eacute;caution avec l&rsquo;utilisation simultan&eacute;e des m&eacute;dicaments b&ecirc;ta-adr&eacute;nergiques. <strong>Cons&nbsp;:</strong>Pharmacie&nbsp;: &agrave; conserver au r&eacute;frig&eacute;rateur (2-8&deg;C). Apr&egrave;s d&eacute;livrance au patient&nbsp;: 3 mois &agrave; temp&eacute;rature ambiante. <strong>Pr&eacute;s:</strong> Emballage avec 1 a&eacute;rosol-doseur &agrave; 120 doses. <strong>Liste B</strong>. Informations d&eacute;taill&eacute;es&nbsp;: www.swissmedicinfo.ch. Titulaire de l&rsquo;autorisation&nbsp;: <strong>Chiesi SA</strong>. R&eacute;partiteur&nbsp;: <strong>Vifor SA, </strong>CH-1752 Villars-sur-Gl&acirc;ne.Mise &agrave; jour de l&rsquo;information&nbsp;: janvier 2019.</p> <p><img style="float: left; margin-top: 25px; width: 160px;" src="/custom/img/files/files_datafiles_data_Zeitungen_2019_Leading Opinions Digital_Pneumo_1909_Weblinks_chiesi_logo_cyan.jpg" alt="" /><img style="float: right;" src="/custom/img/files/files_datafiles_data_Zeitungen_2019_Leading Opinions Digital_Pneumo_1909_Weblinks_omp_vifor_logo_200x113.jpg" alt="" /></p></p>
Back to top